

Michel Laval
Associé

Michel Laval a commencé sa carrière dans la défense pénale avant de développer d'autres compétences avec la création du Cabinet ML&A.
Il a plaidé dans de nombreux procès correctionnels et d’assises. Il est intervenu dans plusieurs grandes affaires dont « Bruay en Artois », les « Radios libres », le « sang contaminé», les «écoutes téléphoniques de l'Elysée». Il a conseillé, assisté et défendu des grands organes de presse dont les quotidiens Le Monde et Le Temps, la chaine TV5, les stations RTL et FUN Radio dans de nombreuses affaires de presse, ainsi que des personnalités du monde culturel et artistique dont, entre autres, le journaliste et producteur Philippe Alfonsi, le philosophe psychanalyste Bernard Lempert, le cinéaste Pavel Lounguine, l'essayiste et académicien Alain Finkielkraut, le styliste Nicolas Ghesquière, le philosophe et journaliste Roger-Pol Droit,
le philosophe André Glucksmann, l'écrivain et secrétaire perpétuel de l'Académie française, Amin Maalouf et les historiens Stéphane Courtois et Jean-Louis Panné.
Aux mois de janvier 2017 et mars 2018, il a défendu et obtenu la relaxe de l’historien Georges Bensoussan devant le Tribunal correctionnel puis la Cour d'appel de Paris, dans le procès intenté à son encontre pour provocation à la haine par le parquet, le CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France) et plusieurs autres associations dont la Ligue des droits de l'homme, la Licra et le MRAP.
Michel Laval a plaidé pour les parties civiles devant la Cour d’assises de Paris aux printemps 2016 et 2018 dans le procès de deux bourgmestres rwandais, Octavien Ngenzi et Tite Barahira, et, à l'automne 2024, dans le procès du Docteur Eugène Rwamucyo, accusés de génocide et de crime contre l'humanité et condamnés, les deux premiers à la réclusion criminelle à perpétuité, le troisième, à vingt-sept années de réclusion criminelle.